Killer Joe : La diabolique Amérique…
Avec Killer Joe William Friedkin signe, cinq ans après l’inespéré Bug (2006) et sa vision paranoïaque d’une intensité maladive, un polar crasseux d’une amoralité confondante en forme…
Avec Killer Joe William Friedkin signe, cinq ans après l’inespéré Bug (2006) et sa vision paranoïaque d’une intensité maladive, un polar crasseux d’une amoralité confondante en forme…
À l’instar de J. Edgar de Clint Eastwood (2012) ou de I’m not there de Todd Haynes (2007), Love & Mercy, du producteur-réalisateur Bill Pohland, est tout…
C’est cette indissociabilité entre une personnalité hors norme et une organisation d’État en quête de crédibilité qui a séduit Eastwood. Également Di Caprio, puisque l’acteur lui donne…